
Il est des soirs ou j’aimerais t’habiter… me réfugier au fond de ce regard…fondre dans le creux de ta main caressant mon visage, mon cou, la courbe de mon dos… j’aimerais me couvrir de ta peau, me réchauffer dans tes bras si tendres et grands… me perdre dans l’espace de ton corps, les draps de ton cœur, dans le rythme d’un souffle haletant …
Ce soir, dans l’espace d’une feuille noircie, j’aimerai faire voyager nos esprits … là ou tu voudras… là ou chaque seconde s’arrêtera, se prolongera le temps d’une minute, d’une heure au-delà de minuit, d’une nuit de délires, à ne pas en finir… à vouloir y vieillir…
On ira diner, On ira danser sur les notes muettes de nos émois… ces notes que jouent nos cœurs depuis des mois… ces mêmes notes qu’ont su vibrer le silence enfoui dans mon cœur autrefois… pour en faire la plus belle des symphonies du hasard… On valsera sur ce rythme imaginaire corps à corps… corps et âmes… âmes toutes légères, jusqu’à en croire éphémères.
Je me contenterai de balbutier tout bas : joyeux anniversaire !
Il est des soirs ou j’aimerai que tu m’habites…
Ce soir, dans l’espace de cette même feuille, j’aimerai que nos folies cohabitent… dans une aire sans forme, ni limite… dans une ère ou seul « nous » existe et persiste… tu chuchoteras à mes oreilles des baisers, des bisous… et je m’en lasserai de me blottir contre toi pour émoustiller timidement la femme qui sommeille en moi … pour que cette peau soit double quand nos surfaces s’effleurent… se mêlent, se mélangent, se confondront alors nos troubles … et nos envies redoublent !
À l’ombre de vingt sept chandelles, deux silhouettes ne seront qu’une. A chaque souffle, s’en éteindront les bougies une à une… par terre, un bout de tissu en dentelle, plus haut deux corps s’entremêlent … encore plus haut, deux cœurs inconscients, guidés par une force inouïe, un amour charnel, au-delà du charnel… et peut être même éternel !
Ce soir, dans l’espace d’une feuille noircie, j’aimerai faire voyager nos esprits … là ou tu voudras… là ou chaque seconde s’arrêtera, se prolongera le temps d’une minute, d’une heure au-delà de minuit, d’une nuit de délires, à ne pas en finir… à vouloir y vieillir…
On ira diner, On ira danser sur les notes muettes de nos émois… ces notes que jouent nos cœurs depuis des mois… ces mêmes notes qu’ont su vibrer le silence enfoui dans mon cœur autrefois… pour en faire la plus belle des symphonies du hasard… On valsera sur ce rythme imaginaire corps à corps… corps et âmes… âmes toutes légères, jusqu’à en croire éphémères.
Je me contenterai de balbutier tout bas : joyeux anniversaire !
Il est des soirs ou j’aimerai que tu m’habites…
Ce soir, dans l’espace de cette même feuille, j’aimerai que nos folies cohabitent… dans une aire sans forme, ni limite… dans une ère ou seul « nous » existe et persiste… tu chuchoteras à mes oreilles des baisers, des bisous… et je m’en lasserai de me blottir contre toi pour émoustiller timidement la femme qui sommeille en moi … pour que cette peau soit double quand nos surfaces s’effleurent… se mêlent, se mélangent, se confondront alors nos troubles … et nos envies redoublent !
À l’ombre de vingt sept chandelles, deux silhouettes ne seront qu’une. A chaque souffle, s’en éteindront les bougies une à une… par terre, un bout de tissu en dentelle, plus haut deux corps s’entremêlent … encore plus haut, deux cœurs inconscients, guidés par une force inouïe, un amour charnel, au-delà du charnel… et peut être même éternel !
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