
Je regrette.:Attends ! Peux-tu accepter de m’écouter si je te dis …que je regrette …
Tu es belle, tu sais ? Plus belle qu’avant …
Ou étais-je aveugle auparavant?
Tu sembles épanouie, souriante, tu sembles saine… T’es vraiment heureuse sans moi où fais-tu semblant? …
Tu as toujours su cacher tes émotions, n’est-ce pas ? Pour garder cette fierté, cette force en toi. Tu détestais passer pour une faible, pour une personne dépassée par les événements… et pourtant, tu en faisais.. des concessions …au nom de l’amour, de notre relation … je pense enfin… de l’amour que t’avais pour moi. Pourquoi tu me regardes de cette façon. ? Tu ne m’aimes plus ? T’es arrivée à oublier ces quatre années ??…nos quatre années ensemble, avec tous nos partages, délires et tentations ???
Moi, j’ai pas oublié… J’ai pas pu oublier. ..J’ai essayé pourtant !! J’ai essayé de te fuir à chaque fois que tu surgissais dans mes pensées, d’éviter de parler de souvenirs et de m’occuper… de m’occuper et de me sur occuper. Mais, J’ai toujours fini par tomber sur toi dans mes rêves, à me réclamer les heures de bonheur à tes côtés. Je t’ai fais souffrir, je l’admets mais j’ai souffert aussi, j’ai souffert à devoir contrôler ma langue pour ne plus prononcer ton prénom quand je m’adresse à autrui...J’ai souffert à ne plus t’entendre m’appeler par ce surnom unique exceptionnel, à ne plus contempler tes yeux de Mangas, à ne plus t’observer me cajoler telle une gamine, ni subir ton ptit grain de folie inhabituel… Non’ ! Ne dis rien. Je sais ce que tu vas me dire. Dans tes yeux, je peux lire... J’ai appris à lire dans ces perles qui ne mentent guère. Ils portaient autant d’ambition que de volonté, la volonté de faire de moi la personne la plus heureuse sur cette terre. Mais, je n’ai cessé de refuser le bonheur que j’avais à t’avoir à mes côtés, aux moments de ma faiblesse et de ma virilité. Je t’ai souvent ignoré, j’ai négligé ton attention et tout ce que tu m’offrais de par ton cœur, corps, temps et famille… de par ta vie ! J’étais vraiment borné, insoucieux, nonchalant et je ne le nie ! Je prends conscience de tout cela après deux ans de séparation. Après deux ans, maintenant que tu te sens libérée de ce refoulement dépassé, je te vois partout où je vais. Même dans ces yeux à elle, j’ai cherché à te surpasser. J’ai fouillé éperdument ta chaleur dans sa froideur, ta pudeur dans ses provocations… j’ai cru oublié avec le temps, ce que t’as pu graver en moi pour longtemps… j’ai cru trouver en la vie d’adolescence à mes 26 ans, un refuge de mes souffrances… et j’ai ramé contre le vent de ton absence, jusqu’à abandonner et désirer de nouveau ta présence. Lèves la tête, regardes-moi ! Peux-tu me pardonner, pardonner le gamin qu’étais en moi, qui t’as laissé tomber ?
Traites-moi d’égoïste, en amour … en l’est toujours!Aujourd’hui, je suis de retour. Je n’ai jamais osé parler de mots clairs et francs pour construire un discours. Je sais que je t’impressionne en m’écoutant, ce n'étaient ni mes paroles ni mes expressions, mais sache que le temps m’a appris à me remettre en question, à distinguerle futile de l’important. Aujourd’hui, je suis bien de retour et je réagis ! je me lance à dire ce que t’as de moi tant souhaité ouïr, à la fin de chaque dispute avant qu’on ne se remette… c’est que du fond du cœur, je regrette !
Tu es belle, tu sais ? Plus belle qu’avant …
Ou étais-je aveugle auparavant?
Tu sembles épanouie, souriante, tu sembles saine… T’es vraiment heureuse sans moi où fais-tu semblant? …
Tu as toujours su cacher tes émotions, n’est-ce pas ? Pour garder cette fierté, cette force en toi. Tu détestais passer pour une faible, pour une personne dépassée par les événements… et pourtant, tu en faisais.. des concessions …au nom de l’amour, de notre relation … je pense enfin… de l’amour que t’avais pour moi. Pourquoi tu me regardes de cette façon. ? Tu ne m’aimes plus ? T’es arrivée à oublier ces quatre années ??…nos quatre années ensemble, avec tous nos partages, délires et tentations ???
Moi, j’ai pas oublié… J’ai pas pu oublier. ..J’ai essayé pourtant !! J’ai essayé de te fuir à chaque fois que tu surgissais dans mes pensées, d’éviter de parler de souvenirs et de m’occuper… de m’occuper et de me sur occuper. Mais, J’ai toujours fini par tomber sur toi dans mes rêves, à me réclamer les heures de bonheur à tes côtés. Je t’ai fais souffrir, je l’admets mais j’ai souffert aussi, j’ai souffert à devoir contrôler ma langue pour ne plus prononcer ton prénom quand je m’adresse à autrui...J’ai souffert à ne plus t’entendre m’appeler par ce surnom unique exceptionnel, à ne plus contempler tes yeux de Mangas, à ne plus t’observer me cajoler telle une gamine, ni subir ton ptit grain de folie inhabituel… Non’ ! Ne dis rien. Je sais ce que tu vas me dire. Dans tes yeux, je peux lire... J’ai appris à lire dans ces perles qui ne mentent guère. Ils portaient autant d’ambition que de volonté, la volonté de faire de moi la personne la plus heureuse sur cette terre. Mais, je n’ai cessé de refuser le bonheur que j’avais à t’avoir à mes côtés, aux moments de ma faiblesse et de ma virilité. Je t’ai souvent ignoré, j’ai négligé ton attention et tout ce que tu m’offrais de par ton cœur, corps, temps et famille… de par ta vie ! J’étais vraiment borné, insoucieux, nonchalant et je ne le nie ! Je prends conscience de tout cela après deux ans de séparation. Après deux ans, maintenant que tu te sens libérée de ce refoulement dépassé, je te vois partout où je vais. Même dans ces yeux à elle, j’ai cherché à te surpasser. J’ai fouillé éperdument ta chaleur dans sa froideur, ta pudeur dans ses provocations… j’ai cru oublié avec le temps, ce que t’as pu graver en moi pour longtemps… j’ai cru trouver en la vie d’adolescence à mes 26 ans, un refuge de mes souffrances… et j’ai ramé contre le vent de ton absence, jusqu’à abandonner et désirer de nouveau ta présence. Lèves la tête, regardes-moi ! Peux-tu me pardonner, pardonner le gamin qu’étais en moi, qui t’as laissé tomber ?
Traites-moi d’égoïste, en amour … en l’est toujours!Aujourd’hui, je suis de retour. Je n’ai jamais osé parler de mots clairs et francs pour construire un discours. Je sais que je t’impressionne en m’écoutant, ce n'étaient ni mes paroles ni mes expressions, mais sache que le temps m’a appris à me remettre en question, à distinguerle futile de l’important. Aujourd’hui, je suis bien de retour et je réagis ! je me lance à dire ce que t’as de moi tant souhaité ouïr, à la fin de chaque dispute avant qu’on ne se remette… c’est que du fond du cœur, je regrette !
et voila...mes larmes coulent et je pleure.
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